Et si c’était un déséquilibre hormonal ?

Un déséquilibre hormonal ne survient jamais seul ! Ce n’est pas un événement isolé, il est souvent lié à d’autres facteurs qui vont entretenir le déséquilibre. Bonne nouvelle : il est possible d’agir pour aider à rééquilibrer ses hormones.

Qu’est-ce que le déséquilibre hormonal ?

Les déséquilibres hormonaux se produisent lorsqu'il y a trop ou trop peu d'une ou plusieurs hormones dans la circulation sanguine. Même de petits déséquilibres hormonaux peuvent créer des effets secondaires qui résonnent dans tout l’organisme.

 

Les œstrogènes, un groupe d'hormones sexuelles essentiel à la fonction et au cycle reproductifs de la femme, joue un rôle dans de nombreux processus, notamment l'équilibre de la glycémie ainsi que la santé immunitaire, osseuse, cardiaque [1] et cognitive [2]. Des taux d'œstrogènes faibles ou élevés peuvent contribuer à des maladies infectieuses, auto-immunes, métaboliques et dégénératives.

 

Par ailleurs, on peut observer un déséquilibre au niveau de l’hormone progestérone (qui est sécrétée en phase lutéale pour favoriser l’implantation de l’embryon dans l’endomètre de l’utérus pour démarrer la grossesse), qui va également avoir des conséquences, notamment sur les chances de grossesse. 

Quelles sont les causes d’un déséquilibre hormonal ?

L’inflammation est à la base des déséquilibres hormonaux

L'inflammation est la réponse de votre système immunitaire au stress ou aux traumatismes subis par l'organisme. 

 

Ces traumatismes peuvent prendre différentes formes : physiques (fracture, coupure ou éraflure, brûlure, éruption cutanée), alimentaires (aliments transformés, aliments frits, sucre, aliments allergènes) et environnementales (moisissures, toxicité des métaux, produits de nettoyage et d'hygiène personnelle chargés en produits chimiques, etc.).

 

Le mode de vie inflammatoire abaisse le pH corporel et active l'enzyme aromatase (responsable de la conversion des androgènes en oestrogènes), ce qui augmente le taux d'œstrogènes, créant un déséquilibre hormonal [3]. Les déséquilibres hormonaux peuvent augmenter l'inflammation, qui à son tour peut perturber davantage la production d'hormones…

Le stress oxydatif est lié à l’inflammation et au déséquilibre hormonal

Le stress oxydatif est caractérisé par un déséquilibre entre la production d'espèces réactives de l'oxygène et les capacités antioxydantes des cellules.

 

Une production accrue d'espèces réactives de l'oxygène peut produire des dommages cellulaires et contribuer à la physiopathologie de différentes maladies, telles que les maladies inflammatoires. La production d'espèces réactives de l'oxygène est ensuite entretenue par une réponse inflammatoire, alimentant ainsi un cercle vicieux…

 

Cependant, outre l'inflammation, le stress oxydatif peut être lié à un dérèglement hormonal de manière réciproque. Certaines hormones influencent les niveaux d'antioxydants ; d'autre part, le stress oxydatif peut modifier la synthèse, l'activité et le métabolisme des hormones. Le stress oxydatif est donc lié à la fois à l'inflammation systémique et au dérèglement hormonal [4]. 

 

L'ovaire féminin est la source des ovocytes et des hormones régulatrices, et le stress oxydatif dans l'environnement gynécologique est susceptible d'être un médiateur important de la conception [5]. L'évaluation de l'impact du stress oxydatif sur la fertilité des femmes représente une lacune importante dans nos connaissances sur la reproduction.

 

Par ailleurs, des niveaux élevés de l’hormone du stress, le cortisol, contribuent notamment à l'obésité et déclenchent des maladies inflammatoires, notamment le syndrome de fatigue chronique [6].

 

Il existe une relation réciproque entre le stress et la fatigue. Un état de stress génère un état de fatigue, mais un état de fatigue génère à son tour un état de stress [7].

 

Lorsque les facteurs de stress sont récurrents, la perturbation de l'axe gérant la production des hormones est perpétuelle. Ces systèmes de régulation se coordonnent pour créer un milieu acide extracellulaire, un environnement nécessaire, conçu au cours de l'évolution pour neutraliser les facteurs de stress. Cependant, cette stratégie de défense a un prix. L’acidité active des enzymes qui contribuent au développement de molécules inflammatoires. La production accrue d'œstrogènes complète ce cercle vicieux [8].

La relation de cause à effet entre les hormones sexuelles et le microbiome

Le microbiote intestinal et ses métabolites peuvent réguler les conditions inflammatoires. De nombreuses études ont établi un lien entre le microbiote intestinal et les maladies inflammatoires, or l’inflammation est le terreau des déséquilibre hormonaux [9].

 

Les bactéries intestinales jouent un rôle important dans le métabolisme des œstrogènes, de fortes corrélations ont été trouvées entre les niveaux d'œstrogènes urinaires et la richesse du microbiome fécal [10].

 

Certaines études humaines ont indiqué à l’inverse que les fluctuations des œstrogènes peuvent affecter la composition du microbiome intestinal [11]. Il existe donc une relation à double sens entre le microbiote et les niveaux hormonaux. 

 

Quelques études ont été réalisées indiquant la relation de cause à effet entre les hormones sexuelles et le microbiome. Une étude européenne a montré que les hommes en bonne santé présentaient une plus grande abondance de Bacteroides-Prevotella que les femmes, tandis que le microbiote des femmes ménopausées ne différait pas de celui des hommes [12]. Les résultats de cette étude indiquent que les œstrogènes et les hormones féminines jouent un rôle important dans la régulation de la composition du microbiome intestinal.

Les perturbateurs extérieurs augmentant les niveaux d'oestrogènes

Les principaux perturbateurs d’oestrogènes, qui augmentent les niveaux d’oestrogènes, sont [13] : 

  • L’inflammation
  • Le bisphénol A (BPA) 
  • Alcool, marijuana et autres drogues 
  • Les produits cosmétiques (composés de parfum)
  • Antidépresseurs (diazépam)

Les perturbateurs extérieurs diminuant les niveaux d'oestrogènes

Les inhibiteurs d'œstrogènes peuvent bloquer les effets néfastes de l'hormone dans une certaine mesure, mais la carence en œstrogènes a également ses conséquences pathologiques. Les principaux perturbateurs qui réduisent le taux d’oestrogènes sont [14] : 

  • Les antidépresseurs
  • Les antipsychotiques
  • Les opiacés anticonvulsivants
  • Les anti-androgènes
  • Les médicaments antihypertenseurs 
  • Les antagonistes des récepteurs H2
  • Les traitements hormonaux de type “ménopause artificielle”.

 

Les herbicides (glyphosates, Roundup, etc.) et les composés azolés (antifongiques agricoles), les médicaments immunosuppresseurs (glucocorticoïdes, méthotrexate), les antipaludéens et les médicaments anticancéreux (anastrozole, exemestane, létrozole) sont des inhibiteurs de l'aromatase (l’enzyme responsable de la conversion des hormones androgènes en oestrogènes) ce qui va diminuer les niveaux d’oestrogènes [15]. 

 

La fumée de cigarette est soupçonnée d'inhiber l'aromatase et donc perturber les niveaux d’oestrogènes [16].

Quelles sont les conséquences d’un déséquilibre hormonal ?

L’équilibre hormonal, c’est la sécrétion des bonnes hormones au bon moment, en harmonie. 
 

Nos hormones, qu’elles soient sexuelles ou non, fonctionnent toutes en synergie. 
 

Ainsi, quand il y a trop ou pas assez d’oestrogènes, cela impacte non seulement l’ovulation, la qualité de l’endomètre et les règles, mais aussi la production de progestérone par exemple, d’histamine (une substance inflammatoire intervenant dans la sécrétion d’acide gastrique, les allergies, les maux de tête, les soucis de peau…), la santé des os, du cerveau, des muscles, le travail du foie…

 

Globalement, en fonction du ratio oestrogène/progestérone, on observe différents symptômes.

 

Les perturbateurs vont jouer sur la fertilité

Les perturbateurs endocriniens vont avoir divers effets sur le cycle et la fertilité, les effets dépendant du type de perturbateur. Par exemple, le pesticide DDT a été associé à une diminution des niveaux de progestérone et à une phase lutéale plus courte chez les femmes, d'environ 1.5 jour pour l’exposition la plus élevée au DDT [17].

La phase lutéale, et ainsi le temps disponible à l’embryon pour venir s’implanter dans l’endomètre, est écourtée. L’insuffisance de progestérone est d’ailleurs souvent à l’origine de fausses couches. 

 

L’acné hormonale

Un déséquilibre hormonal peut générer des éruptions cutanées et des poussées d’acné. Les femmes sont plus sujettes à ces fluctuations, notamment en cas de SOPK ou au cours des périodes suivantes : autour des règles et de l’ovulation, pendant la grossesse, la périménopause, et après l’arrêt ou le début de la prise de pilule contraceptive.

 

Le rôle des androgènes dans le développement de l'acné hormonale est bien établi. La testostérone, le sulfate de déhydroépiandrostérone (SDHEA) et la dihydrotestostérone (DHT) sont tous trois des androgènes (hormones sexuelles mâles) qui stimulent la croissance des glandes sébacées et donc la production de sébum [18]

Les œstrogènes ont l'effet inverse, c'est-à-dire qu'ils inhibent la sécrétion des androgènes, modulent les gènes impliqués dans la croissance de la glande sébacée et inhibent leur fonction. L'activité de la glande sébacée dépend donc du rapport œstrogènes / androgènes [19]. D'un autre côté, trop d'oestrogène favorise la sur-sécrétion d'histamine qui est une substance inflammatoire ayant tendance à se concentrer dans la peau et qui peut contribuer aux éruptions d'acné.

 

Par ailleurs, l’inflammation perturbe la conversion des hormones androgènes en oestrogènes, ce qui va contribuer à l’acné. Ajouté à cela le stress qui génère de l’inflammation et donc une perturbation hormonale, on comprend mieux pourquoi quand on est stressée et fatiguée on a plus d’acné…

 

Allez voir notre article sur l’acné hormonale pour en savoir plus sur le sujet. 

 

Perturbation du cycle menstruel

L’excès d'œstrogènes contribue à l’abondance des règles, aux douleurs menstruelles, aux douleurs mammaires [20], à l’endométriose, aux fibromes, au syndrome prémenstruel ou encore aux cancers hormono-dépendants comme certains types de cancers du sein. 

 

L’inflammation survenue pendant les règles, d’autant plus en cas de déséquilibre hormonal sous-jacent, va générer des douleurs et des crampes [21].

 

Sans oestrogène en quantités suffisantes, l’endomètre croît assez peu et les règles sont par conséquent moins abondantes et/ou plus courtes. Cela peut entraîner des problèmes de fertilité car la qualité et l’épaisseur de l’endomètre sont des aspects cruciaux de la bonne implantation de l’embryon.
 

Le syndrome prémenstruel

En théorie, la phase folliculaire est dominée par la sécrétion d’oestrogène alors que la phase lutéale est dominée par la sécrétion de progestérone. Or on peut faire l’expérience du syndrome prémenstruel quand la progestérone ne domine pas lors de la phase lutéale. Cela peut prendre deux formes différentes : soit la progestérone est sécrétée en quantités suffisantes mais l’oestrogène est sécrété en quantités excessives ; soit la progestérone est trop peu sécrétée, dans ce cas l’oestrogène domine de fait sur la  progestérone.

 

Le syndrome prémenstruel est donc le fait d’un ratio déséquilibré entre oestrogène et progestérone (oestrogène > progestérone) [22].

 

Pour en savoir plus, allez voir notre article Tout ce qu’il faut savoir sur le Syndrome prémenstruel

 

L’excès d’androgènes et le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK)

L’excès d’hormones androgènes (hyperandrogénie), autrement dit les hormones associées au masculin (testostérone et ses dérivés), est un des symptômes du SOPK. L’inflammation et la résistance à l’insuline sont également des facteurs du SOPK. 

Une précision : si vos hormones androgènes sont normales mais que vous avez tous les symptômes du SOPK, il est possible que vos cellules soient hypersensibles aux androgènes. Autrement dit, une quantité d’androgènes normale peut tout de même générer des symptômes associés à l’excès d’androgènes, et vous pouvez avoir le SOPK malgré tout.

 

Pour en savoir plus, allez voir notre article sur le syndrome des ovaires polykystiques.

 

L’inflammation fait partie de l’endométriose

L’inflammation est également le fer de lance de l’endométriose. 

 

Pour en savoir plus, allez voir notre article sur l’endométriose.

 

Une baisse de libido 

Une baisse de libido peut être due entre autres à une diminution du taux d'œstrogènes. Les faibles taux d'œstrogènes entraînent une sécheresse et une atrophie de la vulve et du vagin, en plus de provoquer des changements dans la fonction génitale par une diminution de la perception sensorielle et du flux sanguin clitoridien [23].

 

Les symptômes bizarres du post partum

Une des explications principalement à l’apparition de certains symptômes en post partum est que pendant la grossesse, on observe une augmentation progressive des hormones, avec 9 fois plus de progestérone et 8 fois plus d’oestrogènes. Une fois le placenta retiré à la naissance, les taux de progestérone et d'œstrogènes chutent et reviennent à la normale en 2 à 4 jours [24]. Ces changements hormonaux peuvent avoir quelques conséquences : 

  • Sueurs nocturnes
  • Perte de cheveux
  • Modifications de l’odeur corporelle
  • Baby blues


Pour en savoir plus, allez voir notre article sur le sujet

Quelle alimentation globale pour rééquilibrer ses hormones ?

En ce qui concerne l’alimentation pour ses hormones spécifiquement, elle correspond ni plus ni moins à une alimentation saine, équilibrée et variée ! Voici quelques points primordiaux sur lesquels s’axer pour ses hormones.


Des aliments à faible index glycémique

 

Des études ont montré que la consommation d'aliments à fort index glycémique et de produits laitiers augmente les taux d'insuline et de l’hormone IGF1. Or ces deux hormones peuvent se lier à des récepteurs ce qui va stimuler la production d'androgènes, comme la testostérone, et inhiber la conversion de la testostérone en oestrogène. Un excès d'insuline dans le sang va donc augmenter les déséquilibres hormonaux [25].

 

Un régime pauvre en charge glycémique réduit l'index d'androgène libre et augmente la protéine de liaison à l’IGF1, et un régime pauvre en index et en charge glycémique diminue les niveaux d'IGF1, ce qui va diminuer la production d’androgènes et favoriser leur conversion en oestrogènes [26]

 

Il faut donc consommer des aliments à faible index et charge glycémique, comme : certains fruits (pomme, poire), des oléagineux (noix de pécan, noix de cajou), les légumes et les légumineuses [27].  

 

Attention aux fruits à index glycémique élevé, comme la mangue, le melon, l'ananas, la pastèque, les cerises, la papaye, le raisin, la banane, ou encore les fruits secs.

 

Une alimentation anti inflammatoire 

 

L’alimentation anti-inflammatoire repose sur deux principes : d’une part ne pas ajouter de l’inflammation à celle déjà présente, et d’autre part apaiser l’inflammation.

Ne pas ajouter d’huile sur le feu

  • Eviter les aliments transformés, industriels, plats préparés et autres fast foods
  • Réduire l’apport en omégas 6
  • Réduire le sucre raffiné
  • Eviter l’alcool

Apaiser le feu

  • Privilégier une alimentation naturelle et maison
  • Consommer beaucoup d'acides gras qui aident à réguler les niveaux de l’hormone FSH, réduire l'inflammation et favoriser la production d'hormones sexuelles [28].
  • Manger davantage de fruits et légumes
  • Favoriser les fruits et légumes les plus colorés
  • Faire attention aux conditions d’élevage des animaux
  • Intégrer des aliments particulièrement anti-inflammatoires à votre alimentation

Pour en savoir plus, allez voir notre article sur alimentation et inflammation.

 

Du zinc pour aider avec l’inflammation

Le zinc permet notamment à réduire l'inflammation et à permettre une meilleure oxygénation de l’utérus [29], et ainsi à réduire les effets de prostaglandines [30] et donc à réduire l’intensité et la durée des douleurs de règles [31]. Des études ont montré que son action pouvait renforcer l’action des anti-inflammatoires [32], voire même diminuer leur prise [33].

 

Le zinc est également très important en période de conception, allez voir notre article sur ce sujet.

 

Si vous êtes en projet bébé, Cocooning+ sera votre allié. Il contient du zinc, du trèfle rouge et de l’alchémille qui agissent en synergie sur l’ovulation et la fertilité.

 

Une alimentation pour son foie

 

Aider le foie dans son travail de régulation hormonale : il est notamment en charge de mettre de côté l’oestrogène en excès pour ensuite le faire excréter du corps. Manger des aliments de la famille des choux peut ici être d’une grande aide.

 

Consommez des légumes soufrés (c’est-à-dire riches en composés contenant du soufre, comme l’ail, l’oignon, l’échalote, la ciboulette, le poireau et le choux, les navets, les radis) et des légumes verts à feuilles. Vous pouvez aussi prendre des carottes crues avec la peau (la carotte possède certaines fibres très utiles pour évacuer les oestrogènes excédentaires).

 

La betterave est l'amie du foie. La betterave contient de la bétaïne, un antioxydant qui réduit l’inflammation et a des effets bénéfiques sur le foie. Pink balance contient de la betterave ainsi que des plantes bénéfiques pour l'équilibre hormonal.

 

Une alimentation anti oxydante

On favorise les fruits et légumes les plus colorés. Ce sont les antioxydants qui sont responsables de la couleur dans les végétaux. 

 

Par exemple, mangez plutôt un oignon rouge qu’un oignon blanc.

 

Les nutriments clés de l’équilibre hormonal

Vous pouvez consommer du magnésium et de la vitamine B6, qui vous aideront à équilibrer vos hormones. La vitamine B6 contribue à réguler l'activité hormonale. Par exemple, en cas de carence en vitamine B6, les niveaux de progestérone augmentent entre 60 et 90%, et ceux d'oestrogènes augmentent à 85%, créant un déséquilibre hormonal et des troubles du cycle [34]

 

Pink balance, la poudre aux fruits rouges pour l'équilibre hormonal, est riche en vitamine B6.

 

De plus, les études montrent qu’une augmentation des apports en magnésium fait diminuer le stress, et qu’une supplémentation en magnésium est bénéfique chez des sujets stressés [35]. L’effet combiné du magnésium et de la vitamine B6 pourrait également aider en cas d’anxiété [36]

 

Faites le plein de magnésium avec nos délicieux brownies ! Chaque bouchée couvre 45% de vos besoins sous une forme hautement absorbée par le corps. 

 

Pour cela vous pouvez consommer des aliments tels que : menthe, romarin, foie de veau ou de dinde, saumon et maquereau, graines et oléagineux, poivrons, choux de Bruxelles, poireaux, banane. 

Quels sont les super aliments clés contre les déséquilibres hormonaux ?

Pink balance, une délicieuse poudre bio aux fruits rouges spécifiquement conçue pour l’équilibre hormonal, le tout dans un pot en verre pour éviter les perturbateurs endocriniens. Elle contient de la maca, du shatavari, de la betterave et est naturellement riche en vitamines du groupe B ! Un cocktail de super aliments pour aider son corps à rééquilibrer les hormones, limiter l'inflammation et faire le plein de vitamines. 

La maca pour les déséquilibres hormonaux

Depuis des siècles, la maca est traditionnellement utilisée pour les déséquilibres hormonaux, les irrégularités menstruelles, la fertilité, la sécheresse vaginale, la perte d'énergie, la libido et la dépression.

 

La racine de Maca ne contient pas d'œstrogènes végétaux ou d'autres phytohormones, mais des stérols végétaux. Ces stérols végétaux déclenchent une chaîne de réactions biochimiques aidant le corps lui-même à produire ou moduler la production d'hormones et d'autres composés, appropriés à l'âge et au sexe de la personne qui la prend [37].

 

Il s’avère que la consommation de maca est associée à de faibles niveaux d'inflammation, ce qui peut être bénéfique pour la régulation hormonale [38].

 

D'autres études ont démontré que la prise de Maca augmente les niveaux de sérum de LH pendant la poussée de LH qui caractérise l’ovulation. Par ailleurs, la maca aide à éliminer les radicaux libres et à une fonction anti-oxydante [39]. 

Attention : si vous avez un SOPK, il peut souvent (pas toujours) se caractériser par une LH déjà trop élevée, donc attention au maca.

Le shatavari pour réguler le cycle

féminine, car elle augmente la libido, aide avec l'inflammation des organes sexuels et humidifie même les tissus secs des organes sexuels, améliore la folliculogénèse et l'ovulation, prépare l'utérus pour la conception, agit comme tonique post-partum en normalisant l'utérus et les hormones [40].

 

Le shatavari équilibre les niveaux de stress oxydatif en augmentant les niveaux d’antioxydants du corps [41], or le stress oxydatif peut être lié à un dérèglement hormonal.

 

Il peut être utilisé efficacement pour corriger le déséquilibre hormonal grâce à ses propriétés phytoestrogéniques, qui pourraient réguler le cycle œstral ou ovarien [42].

La betterave pour diminuer l’inflammation

Les études montrent que la betterave aide à diminuer le stress oxydatif et l’inflammation [43]. Cela est dû à un de ses composés, la bétaïne, qui a des effets antioxydants [44] et anti inflammatoires [45].  

 

La bétaïne a également des effets bénéfiques sur le foie [46], or la détoxification du foie permet de maintenir un bon équilibre hormonal, notamment en éliminant l’excès d’oestrogènes. 

Certaines plantes vont agir sur les niveaux hormonaux

Par exemple, le gattilier, le houblon et le trèfle rouge (attention, ne pas consommer de gattilier ou de trèfle rouge si vous êtes enceinte ou allaitante) se lient aux récepteurs d'œstrogènes. Le ginseng a également une certaine activité œstrogénique [47].

Le sabal, ou palmier nain, va quant à lui agir sur les niveaux d’androgènes. Il va bloquer l’action de la testostérone [48]. 

Comment agir globalement ?

Faire attention à l’inflammation

 

De nombreux aspects de notre mode de vie actuel sont pour ainsi dire inflammatoires, autrement dit ils alimentent notre feu interne. Malheureusement, les médicaments anti-inflammatoires ont tendance à contribuer à la perméabilité intestinale, et donc à l’inflammation chronique [49], un comble !

 

Fuire les perturbateurs endocriniens

Manger bio

L’étude NutriNet-Santé sur la population française a comparé les métabolites urinaires de pesticides (dont une grande partie sont des perturbateurs endocriniens) chez les consommateurs ayant une consommation d'aliments biologiques par rapport à ceux n’en ayant pas une. Ils ont montré des niveaux urinaires significativement plus élevés métabolites de pesticides chez les consommateurs conventionnels par rapport aux consommateurs biologiques [51].

Surveiller les contenants et ustensiles alimentaires

Exit les additifs alimentaires, les emballages plastiques ou les outils de cuisine en plastique ou avec des revêtements anti-adhésif. On passe à des ustensiles et des contenants en inox, en pierre, ou en verre; on cuisine un maximum « maison »; on aère bien tous les jours; on passe à la cosmétique bio, sans BPA et parabènes, phtalates, on arrête de boire de l’eau dans les bouteilles plastiques. Et en prime, on fait du bien à sa santé tout court !

Faire attention aux cosmétiques

Certains produits cosmétiques et de beauté (masques, vernis, rouges à lèvres, laques, teintures, etc) contiennent également des perturbateurs endocriniens ! [52]

Pour en savoir plus sur ce sujet, allez voir notre article sur les perturbateurs endocriniens et le cycle féminin.

 

Faire de l’exercice

 

L’exercice physique permet notamment de rendre les cellules musculaires plus sensibles à l’insuline. Or plus les cellules seront sensibles à l’insuline, meilleur sera l’équilibre hormonal.

Par exemple, des sessions de renforcement musculaire progressif peuvent réduire la résistance à l’insuline [53] mais aussi diminuer les taux d’androgènes libres [54]

 

De plus, le sport a un effet bénéfique sur l’inflammation [55].

Attention cependant au sport trop intense et trop fréquemment : dans ce cas il peut être une source d'inflammation…

En conclusion

Le stress, la fatigue, l’inflammation, le microbiote, l’environnement extérieur sont autant de facteurs qui vont jouer sur notre équilibre hormonal. 
 

Il est important d’agir et de maîtriser ces facteurs car l’équilibre hormonal aura des conséquences entre autres sur le cycle menstruel, la fertilité, le poids, l’humeur, et l’état de santé général. 

 

L’inflammation est la base de ces déséquilibres, vous pouvez donc agir au travers de votre alimentation ou encore en faisant attention aux médicaments. 

NOS SOURCES

[1] Elizabeth Murphy, « Estrogen Signaling and Cardiovascular Disease », Circulation Research 109, no 6 (2 septembre 2011): 687‑96, https://doi.org/10.1161/CIRCRESAHA.110.236687.

[2] Yuko Hara et al., « Estrogen Effects on Cognitive and Synaptic Health Over the Lifecourse », Physiological Reviews 95, no 3 (juillet 2015): 785‑807, https://doi.org/10.1152/physrev.00036.2014.

[3] Seema Patel et al., « Estrogen: The Necessary Evil for Human Health, and Ways to Tame It », Biomedicine & Pharmacotherapy = Biomedecine & Pharmacotherapie 102 (juin 2018): 403‑11, https://doi.org/10.1016/j.biopha.2018.03.078.

[4] Antonio Mancini et al., « Thyroid Hormones, Oxidative Stress, and Inflammation », Mediators of Inflammation 2016 (2016): 6757154, https://doi.org/10.1155/2016/6757154.

[5] Elizabeth H. Ruder et al., « Oxidative stress and antioxidants: exposure and impact on female fertility », Human Reproduction Update 14, no 4 (1 juillet 2008): 345‑57, https://doi.org/10.1093/humupd/dmn011.

[6] S. D. Hewagalamulage et al., « Stress, Cortisol, and Obesity: A Role for Cortisol Responsiveness in Identifying Individuals Prone to Obesity », Domestic Animal Endocrinology 56 Suppl (juillet 2016): S112-120, https://doi.org/10.1016/j.domaniend.2016.03.004.

[7] Johanna M. Doerr et al., « Reciprocal Relationship between Acute Stress and Acute Fatigue in Everyday Life in a Sample of University Students », Biological Psychology 110 (1 septembre 2015): 42‑49, https://doi.org/10.1016/j.biopsycho.2015.06.009.

[8] Seema Patel et al., « Estrogen: The Necessary Evil for Human Health, and Ways to Tame It », Biomedicine & Pharmacotherapy = Biomedecine & Pharmacotherapie 102 (juin 2018): 403‑11, https://doi.org/10.1016/j.biopha.2018.03.078.

[9] Ji Wang, Wei-Dong Chen, et Yan-Dong Wang, « The Relationship Between Gut Microbiota and Inflammatory Diseases: The Role of Macrophages », Frontiers in Microbiology 11 (2020): 1065, https://doi.org/10.3389/fmicb.2020.01065.

[10] Hadar Neuman et al., « Microbial endocrinology: the interplay between the microbiota and the endocrine system », FEMS Microbiology Reviews 39, no 4 (1 juillet 2015): 509‑21, https://doi.org/10.1093/femsre/fuu010.

[11] Song He et al., « The Gut Microbiome and Sex Hormone-Related Diseases », Frontiers in Microbiology 12 (2021): 2699, https://doi.org/10.3389/fmicb.2021.711137.

[12] Susanne Mueller et al., « Differences in Fecal Microbiota in Different European Study Populations in Relation to Age, Gender, and Country: A Cross-Sectional Study », Applied and Environmental Microbiology 72, no 2 (février 2006): 1027‑33, https://doi.org/10.1128/AEM.72.2.1027-1033.2006.

[13] Seema Patel et al., « Estrogen: The Necessary Evil for Human Health, and Ways to Tame It », Biomedicine & Pharmacotherapy = Biomedecine & Pharmacotherapie 102 (juin 2018): 403‑11, https://doi.org/10.1016/j.biopha.2018.03.078.

[14] Daria La Torre et Alberto Falorni, « Pharmacological Causes of Hyperprolactinemia », Therapeutics and Clinical Risk Management 3, no 5 (octobre 2007): 929‑51.

[15] Seema Patel et al., « Estrogen: The Necessary Evil for Human Health, and Ways to Tame It », Biomedicine & Pharmacotherapy = Biomedecine & Pharmacotherapie 102 (juin 2018): 403‑11, https://doi.org/10.1016/j.biopha.2018.03.078.

[16] Anat Biegon, Nelly Alia-Klein, et Joanna Fowler, « Potential Contribution of Aromatase Inhibition to the Effects of Nicotine and Related Compounds on the Brain », Frontiers in Pharmacology 3 (2012): 185, https://doi.org/10.3389/fphar.2012.00185.

[17] Windham, Gayle C., Diana Lee, Patrick Mitchell, Meredith Anderson, Myrto Petreas, et Bill Lasley. « Exposure to Organochlorine Compounds and Effects on Ovarian Function ». Epidemiology (Cambridge, Mass.) 16, no 2 (mars 2005): 182‑90. https://doi.org/10.1097/01.ede.0000152527.24339.17.

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[19] Zouboulis, Christos C., Mauro Picardo, Qiang Ju, Ichiro Kurokawa, Dániel Törőcsik, Tamás Bíró, et Marlon R. Schneider. 2016. « Beyond Acne: Current Aspects of Sebaceous Gland Biology and Function ». Reviews in Endocrine & Metabolic Disorders 17 (3): 319‑34.https://doi.org/10.1007/s11154-016-9389-5.

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POURQUOI CE PRODUIT ?

Pink balance, la poudre au maca et shatavari, au goût de fraise et de framboises, avec un mélange de vitamines B naturelles. Le maca et le shatavari sont des adaptogènes qui aident à rééquilibrer les hormones et donc le cycle. 
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Pink balance x Charlotte Muller

Ce produit a été développé en collaboration avec Charlotte Muller, la star du yoga hormonal ! Pink balance, une délicieuse poudre aux fruits rouges pour l’équilibre hormonal et la fertilité. Elle contient du maca et du shatavari, traditionnellement utilisés pour les troubles du cycle féminin et elle est riche en vitamines du groupe B, très intéressantes pour le cycle. Un complément alimentaire 100% bio et naturel, qui aide également à faire le plein d’énergie. Le tout dans un pot en verre et avec un couvercle 100% recyclable.

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FAQ

Comment savoir si on a un déséquilibre hormonal ?

Les symptômes les plus courants d’un déséquilibre hormonal sont : fatigue, troubles du cycle (douleurs, irrégularité, syndrome prémenstruel, etc), acné, variation de poids, perturbation de l’humeur, etc. 

Comment rétablir un équilibre hormonal ?

Pour l’équilibre hormonal, une approche globale est nécessaire : une bonne alimentation (non inflammatoire et riche en antioxydant), un bon sommeil, pas de stress (yoga, plantes, etc), du sport, etc. 

Qu'est-ce qui provoque un dérèglement hormonal ?

De nombreux facteurs jouent sur les hormones. Le stress et l’inflammation en sont les principaux, on trouve également les perturbateurs endocriniens, les métaux lourds, le tabac, etc.