visuel abricot et cycle hormonal

Et si c’était un dérèglement hormonal ?

Un dérèglement hormonal ne survient jamais seul ! Ce n’est pas un événement isolé, il est souvent lié à d’autres facteurs qui vont entretenir le déséquilibre. Bonne nouvelle : il est possible d’agir pour rééquilibrer tout ça. 

Qu’est-ce que le dérèglement hormonal ?

Les déséquilibres hormonaux se produisent lorsqu'il y a trop ou trop peu d'une ou plusieurs hormones dans la circulation sanguine. Même de petits déséquilibres peuvent créer des effets secondaires qui résonnent dans tout l’organisme.

 

Les œstrogènes, un groupe d'hormones sexuelles essentiel à la fonction et au cycle reproductifs de la femme, sont impliqués dans de nombreux processus, notamment la glycémie ainsi que la santé immunitaire, osseuse, cardiaque [1] et cognitive [2]. Des niveaux faibles ou élevés peuvent contribuer à des maladies infectieuses, auto-immunes, métaboliques (maladie telle que le diabète, l’obésité, etc) et dégénératives.

 

Par ailleurs, on peut observer un déséquilibre au niveau de la progestérone (qui est sécrétée en phase lutéale pour favoriser l’implantation de l’embryon dans l’endomètre de l’utérus pour démarrer la grossesse), qui va également avoir des conséquences, notamment sur les chances de grossesse. 

 

N’hésitez pas à consulter afin de réaliser un bilan hormonal, qui vous permettra de cibler vos besoins et de mettre en place le traitement adapté. 

Quelles sont les causes d’un dérèglement hormonal ?

L’inflammation est à la base des déséquilibres 

L'inflammation est la réponse de votre système immunitaire au stress ou aux traumatismes subis par l'organisme. 

 

Ces traumatismes peuvent prendre différentes formes : physiques (fracture, coupure ou éraflure, brûlure, éruption cutanée), alimentaires (aliments transformés, aliments frits, sucre, aliments allergènes) et environnementales (moisissures, toxicité des métaux, produits de nettoyage et d'hygiène personnelle chargés en produits chimiques, etc.).

 

Le mode de vie inflammatoire abaisse le pH corporel et active l'enzyme aromatase (responsable de la conversion des androgènes en oestrogène), ce qui augmente le taux d'œstrogène, créant un déséquilibre hormonal [3]. Ces déséquilibres peuvent augmenter l'inflammation, qui à son tour contribue à augmenter les déséquilibres…

 

Le stress oxydatif est lié à l’inflammation et aux déséquilibres

Il est caractérisé par un déséquilibre entre les niveaux d'espèces réactives de l'oxygène et les capacités antioxydantes des cellules.

 

Ces espèces réactives de l'oxygène peuvent produire des dommages cellulaires et contribuer à la physiopathologie de différentes maladies, telles que les maladies inflammatoires. Cela est ensuite entretenu par une réponse inflammatoire, alimentant ainsi un cercle vicieux…

 

Certaines hormones influencent les niveaux d'antioxydants ; d'autre part, l’état oxydatif peut modifier leurs synthèse, leurs activité et leur métabolisme. Il est donc lié à la fois à l'inflammation systémique et au dérèglement hormonal [4]

 

L'ovaire féminin est la source des ovocytes et des hormones régulatrices, et le stress oxydatif dans l'environnement gynécologique est susceptible d'être un médiateur important de la conception [5]. L'évaluation de son impact sur la fertilité des femmes représente une lacune importante dans nos connaissances sur la reproduction.

 

Il est également lié à la thyroïde, puisqu'il a été démontré que l'hyperthyroïdie (la glande thyroïde produit trop d'hormones) et l'hypothyroïdie (la glande thyroïde n’en produit pas assez) sont toutes deux associées ce stress oxydatif.

 

Le stress génère de la fatigue, de l’inflammation et perturbe les oestrogènes

Des niveaux élevés de l’hormone du stress, le cortisol (produit par les glandes surrénales), contribuent notamment à l'obésité et déclenchent des maladies inflammatoires, notamment de la fatigue chronique [6].

 

Il existe une relation réciproque entre le mode de vie stressant et la fatigue, qui en fait un cercle vicieux [7].

 

Lorsque les facteurs de stress sont récurrents, la perturbation hormonale est perpétuelle. Ces systèmes de régulation se coordonnent pour créer un milieu acide extracellulaire, un environnement nécessaire, conçu au cours de l'évolution pour neutraliser ces facteurs. Cependant, cette stratégie de défense a un prix. L’acidité active des enzymes qui contribuent au développement de molécules inflammatoires. La production accrue d'œstrogène complète ce cercle vicieux [8].

 

La relation de cause à effet avec le microbiome

Le microbiote intestinal et ses métabolites peuvent réguler les conditions inflammatoires. De nombreuses études ont établi un lien entre le microbiote intestinal et les maladies inflammatoires, or l’inflammation est le terreau des problèmes hormonaux [9].

 

Les bactéries intestinales sont impliquées dans le métabolisme des œstrogènes, de fortes corrélations ont été trouvées entre les niveaux d'œstrogène urinaire et la richesse du microbiome fécal [10].

 

Certaines études humaines ont indiqué à l’inverse que leurs fluctuations peuvent affecter la composition du microbiome intestinal [11]. Il existe donc une relation à double sens entre les deux. 

 

Quelques études ont été réalisées indiquant la relation de cause à effet entre les hormones sexuelles et le microbiome. Une étude européenne a montré que les hommes en bonne santé présentaient une plus grande abondance de Bacteroides-Prevotella que les femmes, tandis que le microbiote des femmes en ménopause ne différait pas de celui des hommes [12]. Les résultats de cette étude indiquent que les œstrogènes notamment sont impliqués dans la régulation de la composition du microbiome intestinal.

 

Les perturbateurs extérieurs

Les principaux perturbateurs qui augmentent les niveaux d’oestrogène, sont [13]

L’inflammation

Le bisphénol A (BPA) 

Alcool, marijuana et autres drogues 

Les produits cosmétiques (composés de parfum)

Antidépresseurs (diazépam).

 

Certains inhibiteurs peuvent bloquer les oestrogènes, mais la carence a également ses conséquences pathologiques. Les principaux perturbateurs qui réduisent le taux sont [14]

Les antidépresseurs

Les antipsychotiques

Les opiacés anticonvulsivants

Les anti-androgènes

Les médicaments antihypertenseurs 

Les antagonistes des récepteurs H2

Les traitement de type “ménopause artificielle”.

 

Les herbicides (glyphosates, Roundup, etc.) et les composés azolés (antifongiques agricoles), les médicaments immunosuppresseurs (glucocorticoïdes, méthotrexate), les antipaludéens et les médicaments anticancéreux (anastrozole, exemestane, létrozole) sont des inhibiteurs de l'aromatase (l’enzyme responsable de la conversion des androgènes en oestrogène) ce qui va diminuer les niveaux [15]

 

La fumée de cigarette est soupçonnée d'inhiber l'aromatase et donc perturber ces niveaux [16].

Quelles sont les conséquences d’un dérèglement hormonal ?

L’équilibre hormonal, c’est la sécrétion des bonnes hormones au bon moment, en harmonie. Tout fonctionne en synergie. 

 

Ainsi, quand il y en a trop ou pas assez d’oestrogènes, cela impacte non seulement l’ovulation, la qualité de l’endomètre et les règles, mais aussi les niveaux de progestérone par exemple, d’histamine (une substance inflammatoire intervenant dans la sécrétion d’acide gastrique, les allergies, les maux de tête, les soucis de peau…), au niveau des os, du cerveau, des muscles, le travail du foie, etc. 

 

Globalement, en fonction du ratio, on observe différents symptômes. 

 

Les signes les plus fréquents sont également les troubles du sommeil, troubles dépressifs, fatigue, et au niveau des signes physiques on peut observer une augmentation du poids, de l’acné…

 

Les perturbateurs vont jouer sur la fertilité

Les perturbateurs endocriniens vont avoir divers effets, les effets dépendant du type de perturbateur. Par exemple, le pesticide DDT a été associé à une diminution des niveaux de progestérone et à une phase lutéale plus courte chez les femmes, d'environ 1.5 jour pour l’exposition la plus élevée au DDT [17].

La phase lutéale, et ainsi le temps disponible à l’embryon pour venir s’implanter dans l’endomètre, est écourtée. L’insuffisance de progestérone est d’ailleurs souvent à l’origine de fausses couches. 

 

L’acné hormonale

Un dérèglement hormonal peut générer des éruptions cutanées et des poussées d’acné. Les femmes sont plus sujettes à ces fluctuations, notamment en cas de SOPK ou au cours des périodes suivantes : autour des menstruations et de l’ovulation, pendant la grossesse, la péri ménopause, et après l’arrêt ou le début de la prise de pilule contraceptive.

 

Il est établi que les androgènes sont impliqués dans le développement de cette acné. La testostérone, le sulfate de déhydroépiandrostérone (SDHEA) et la dihydrotestostérone (DHT) sont tous trois des androgènes (hormones sexuelles mâles) qui stimulent la croissance des glandes sébacées et donc la sécrétion de sébum [18]

Les œstrogènes ont l'effet inverse, c'est-à-dire qu'ils inhibent la sécrétion des androgènes, modulent les gènes impliqués dans la croissance de la glande sébacée et inhibent leur fonction. L'activité de la glande sébacée dépend donc du rapport œstrogène / androgène [19]. D'un autre côté, trop d'oestrogène favorise la sur-sécrétion d'histamine qui est une substance inflammatoire ayant tendance à se concentrer dans la peau et qui peut contribuer aux éruptions d'acné.

 

Par ailleurs, l’inflammation perturbe la conversion des androgènes en oestrogène, ce qui va contribuer à l’acné. On comprend mieux pourquoi quand on est stressée et fatiguée on a plus d’acné…

 

Allez voir notre article sur l’acné hormonale pour en savoir plus sur le sujet. 

 

Perturbation du cycle menstruel

L’excès d'œstrogène contribue à l’abondance des règles, aux douleurs menstruelles, aux douleurs mammaires [20], à l’endométriose, aux fibromes, au syndrome prémenstruel ou encore aux cancers hormono-dépendants comme certains types de cancers du sein. 

 

L’inflammation survenue pendant les règles, d’autant plus en cas de déséquilibre hormonal sous-jacent, va générer des douleurs et des crampes [21]. Notre complément alimentaire règles douloureuses, aussi efficace pour le post-partum, permettra d’apaiser les inconforts.

 

Sans oestrogène en quantités suffisantes, l’endomètre croît assez peu et les menstruations sont par conséquent moins abondantes et/ou plus courtes. Cela peut entraîner des problèmes de fertilité car la qualité et l’épaisseur de l’endomètre sont des aspects cruciaux de la bonne implantation de l’embryon.

 

Le syndrome prémenstruel (SPM)

En théorie, la phase folliculaire est dominée par la sécrétion d’oestrogène alors que la phase lutéale est dominée par la sécrétion de progestérone. Or on peut faire l’expérience du SPM quand elle ne domine pas lors de la phase lutéale. Cela peut prendre deux formes différentes : soit elle est sécrétée en quantités suffisantes mais l’oestrogène est sécrété en quantités excessives ; soit elle est trop peu sécrétée, dans ce cas l’oestrogène domine.

 

Le SPM est donc le fait d’un ratio déséquilibré: oestrogène > progestérone [22].

 

Notre complément alimentaire syndrome prémenstruel Happy cycle aidera à diminuer ces symptômes. 

 

Pour en savoir plus, allez voir notre article Tout ce qu’il faut savoir sur le Syndrome prémenstruel

 

L’excès d’androgènes et le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK)

L’excès d’androgènes (hyperandrogénie) est un des symptômes du SOPK. L’inflammation et la résistance à l’insuline sont également des facteurs. 

Une précision : si vos androgènes sont normaux mais que vous avez tous les symptômes du SOPK, il est possible que vos cellules soient hypersensibles aux androgènes. Autrement dit, une quantité d’androgènes normale peut tout de même générer des signes associés à l’excès d’androgènes, et vous pouvez l’avoir malgré tout.

 

N’hésitez pas à consulter un professionnel (médecin, gynécologue, etc) pour avoir des traitements adaptés. 

 

Pour en savoir plus, allez voir notre article sur le syndrome des ovaires polykystiques.

 

L’inflammation fait partie de l’endométriose

L’inflammation est également le fer de lance de l’endométriose. 

 

Pour en savoir plus, allez voir notre article sur l’endométriose.

 

Une baisse de libido 

Une baisse de libido peut être due entre autres à une diminution des niveaux d'œstrogènes. Des faibles taux entraînent une sécheresse et une atrophie de la vulve et du vagin, en plus de provoquer des changements dans la fonction génitale par une diminution de la perception sensorielle et du flux sanguin clitoridien [23].

 

Les symptômes bizarres du post partum

Une des explications principalement à l’apparition de certains symptômes est liée aux changements hormonaux spectaculaires qui se produisent [24], et qui peuvent avoir des conséquences telles que : 

Sueurs nocturnes

Perte de cheveux

Modifications de l’odeur corporelle

Baby blues

 

Pour en savoir plus, allez voir notre article sur les symptômes du post-partum.

Quelle alimentation globale pour rééquilibrer ses hormones ?

Elle doit être saine, équilibrée et variée ! Voici quelques points primordiaux sur lesquels s’axer.

 

Des aliments à faible index glycémique

Des études ont montré que la consommation d'aliments à fort index glycémique et de produits laitiers augmente les niveaux d'insuline et de l’hormone IGF1. Or ces deux hormones peuvent se lier à des récepteurs ce qui va stimuler la sécrétion d'androgènes, comme la testostérone, et inhiber la conversion de la testostérone en oestrogène. Un excès d'insuline dans le sang va donc augmenter les problèmes [25].

 

Un régime pauvre en charge glycémique réduit l'index d'androgène libre et augmente la protéine de liaison à l’IGF1, et un régime pauvre en index et en charge glycémique diminue les niveaux d'IGF1, ce qui va diminuer la production d’androgènes et favoriser leur conversion en oestrogène [26]

 

Il faut donc consommer des aliments à faible index et charge glycémique, comme : certains fruits (pomme, poire), des oléagineux (noix de pécan, noix de cajou), les légumes et les légumineuses [27].  

 

Attention aux fruits à index glycémique élevé, comme la mangue, le melon, l'ananas, la pastèque, les cerises, la papaye, le raisin, la banane, ou encore les fruits secs.

 

Des aliments anti inflammatoires

Cela repose sur deux principes : d’une part ne pas ajouter de l’inflammation à celle déjà présente, et d’autre part apaiser l’inflammation.

 

  • Ne pas ajouter d’huile sur le feu

Eviter les aliments transformés, industriels, plats préparés et autres fast foods

Réduire l’apport en omégas 6

Réduire le sucre raffiné

Eviter l’alcool 

 

  • Apaiser le feu

Privilégier le naturel et maison

Consommer des bons acides gras qui aident à réguler les niveaux de FSH, réduire l'inflammation et favoriser la régulation au global [28].

Manger davantage de fruits et légumes

Favoriser les fruits et légumes les plus colorés

Faire attention aux conditions d’élevage des animaux

Intégrer des aliments particulièrement anti-inflammatoires

 

Pour en savoir plus, allez voir notre article sur alimentation et inflammation.

 

Du zinc pour aider avec l’inflammation

Le zinc permet notamment à réduire l'inflammation et à permettre une meilleure oxygénation de l’utérus [29], et ainsi à réduire les effets de prostaglandines [30] et donc à réduire l’intensité et la durée des douleurs de règles [31]. Des études ont montré que son action pouvait renforcer l’action des anti-inflammatoires [32], voire même diminuer leur consommation [33].

 

Le zinc est également très important en période de conception, allez voir notre article sur ce sujet.

 

Prendre soin de son foie

Le foie est notamment en charge de mettre de côté l’oestrogène en excès pour ensuite le faire excréter du corps. Manger des aliments de la famille des choux peut ici être d’une grande aide.

 

Consommez des légumes soufrés (c’est-à-dire riches en composés contenant du soufre, comme l’ail, l’oignon, l’échalote, la ciboulette, le poireau et le choux, les navets, les radis) et des légumes verts à feuilles. Vous pouvez aussi prendre des carottes crues avec la peau (la carotte possède certaines fibres très utiles pour évacuer l’oestrogène excédentaire).

 

Des aliments antioxydants

On favorise les fruits et légumes les plus colorés. Ce sont les antioxydants qui sont responsables de la couleur dans les végétaux. 

 

Par exemple, mangez plutôt un oignon rouge qu’un oignon blanc.

 

Les nutriments clés de l’équilibre hormonal

Vous pouvez consommer du magnésium et de la vitamine B6. La vitamine B6 contribue à réguler l'activité hormonale. Par exemple, en cas de carence en vitamine B6, les niveaux de progestérone augmentent entre 60 et 90%, et ceux d'oestrogènes augmentent à 85% [34].

 

De plus, les études montrent qu’une augmentation des apports en magnésium fait diminuer le stress, et qu’une supplémentation en magnésium est bénéfique chez des sujets stressés [35]. L’effet combiné du magnésium et de la vitamine B6 pourrait également aider en cas d’anxiété [36]

 

Faites le plein de magnésium avec nos délicieux brownies ! Chaque bouchée couvre 45% de vos besoins sous une forme hautement absorbée par le corps. 

 

Pour cela vous pouvez consommer des aliments tels que : menthe, romarin, foie de veau ou de dinde, saumon et maquereau, graines et oléagineux, poivrons, choux de Bruxelles, poireaux, banane. 

Quels sont les super aliments clés contre les dérèglements hormonaux ?

Pink balance, une délicieuse poudre bio aux fruits rouges spécifiquement conçue pour diminuer le déséquilibre hormonal, le tout dans un pot en verre pour éviter les perturbateurs endocriniens. Elle contient de la maca, du shatavari, de la betterave et est naturellement riche en vitamines du groupe B ! Un cocktail de super aliments pour aider son corps à rééquilibrer les hormones, limiter l'inflammation et faire le plein de vitamines. 

La maca pour rééquilibrer

Depuis des siècles, la maca est traditionnellement utilisée pour les dérèglements hormonaux, les irrégularités menstruelles, la fertilité, la sécheresse vaginale, la perte d'énergie, la libido et la dépression.

 

La racine de Maca contient des stérols végétaux qui déclenchent une chaîne de réactions biochimiques aidant le corps lui-même à produire ou moduler la production d'hormones et d'autres composés, appropriés à l'âge et au sexe de la personne qui la prend [37].

 

Il s’avère que la consommation de maca est également associée à de faibles niveaux d'inflammation [38].

 

D'autres études ont démontré que la prise de Maca augmente les niveaux de sérum de LH pendant la poussée de LH qui caractérise l’ovulation. Par ailleurs, la maca aide à éliminer les radicaux libres et à une fonction anti-oxydante [39]. 

Attention : si vous avez un SOPK, il peut souvent (pas toujours) se caractériser par une LH déjà trop élevée, donc attention au maca.

Le shatavari pour réguler le cycle

Dans l'Ayurveda, le Shatavari est considéré comme un tonique féminin. C’est une herbe bénéfique pour l'infertilité féminine, car elle augmente la libido, aide avec l'inflammation des organes sexuels et humidifie même les tissus secs des organes sexuels, améliore la folliculogénèse et l'ovulation, prépare l'utérus pour la conception, agit comme tonique post-partum [40].

 

Le shatavari régule les niveaux d’antioxydants du corps [41], or ces niveaux peuvent être liés à un dérèglement hormonal.

La betterave pour diminuer l’inflammation

Les études montrent que la betterave aide à diminuer l’inflammation [43]. Cela est dû à un de ses composés, la bétaïne, qui a des effets antioxydants [44] et anti inflammatoires [45].  

 

La bétaïne a également des effets bénéfiques sur le foie [46], or la détoxification du foie permet de maintenir un bon équilibre hormonal, notamment en éliminant l’excès d’oestrogène. 

Certaines plantes vont être bénéfiques

Par exemple, le gattilier, le houblon et le trèfle rouge (attention, ne pas consommer de gattilier ou de trèfle rouge si vous êtes enceinte ou allaitante) se lient aux récepteurs d'œstrogène. Le ginseng a également une certaine activité œstrogénique [47].

Le sabal, ou palmier nain, va quant à lui agir sur les niveaux d’androgènes. Il va bloquer l’action de la testostérone [48]. 

Comment agir globalement sur un dérèglement hormonal ?

Faire attention à l’inflammation

De nombreux aspects de notre mode de vie actuel sont pour ainsi dire inflammatoires, autrement dit ils alimentent notre feu interne. Malheureusement, les médicaments anti-inflammatoires ont tendance à contribuer à la perméabilité intestinale, et donc à l’inflammation chronique [49], un comble !

 

Fuire les perturbateurs endocriniens

  • Manger bio

Une étude sur la population française a comparé les métabolites urinaires de pesticides (dont une grande partie sont des perturbateurs endocriniens) chez les consommateurs ayant une consommation d'aliments biologiques par rapport à ceux n’en ayant pas une. Ils ont montré des niveaux urinaires significativement plus élevés métabolites de pesticides chez les consommateurs conventionnels par rapport aux consommateurs biologiques [51].

 

  • Surveiller les contenants et ustensiles alimentaires

Exit les additifs alimentaires, les emballages plastiques ou les outils de cuisine en plastique ou avec des revêtements anti-adhésif. On passe à des ustensiles et des contenants en inox, en pierre, ou en verre; on cuisine un maximum « maison »; on aère bien tous les jours; on passe à la cosmétique bio, sans BPA et parabènes, phtalates, on arrête de boire de l’eau dans les bouteilles plastiques. Et en prime, on fait du bien à sa santé tout court !

 

  • Faire attention aux cosmétiques

Certains produits cosmétiques et de beauté (masques, vernis, rouges à lèvres, laques, teintures, etc) contiennent également des perturbateurs endocriniens ! [52]

 

Pour en savoir plus sur ce sujet, allez voir notre article sur les perturbateurs endocriniens et le cycle féminin.

 

Faire de l’exercice

L’exercice physique permet notamment de rendre les cellules musculaires plus sensibles à l’insuline. Or plus les cellules seront sensibles à l’insuline, meilleur sera l’équilibre hormonal.

Par exemple, des sessions de renforcement musculaire progressif peuvent réduire la résistance à l’insuline [53] mais aussi diminuer les niveaux d’androgènes libres [54]

 

De plus, le sport a un effet bénéfique sur l’inflammation [55].

Attention cependant au sport trop intense et trop fréquemment : dans ce cas il peut être une source d'inflammation...

En conclusion

Le mode de vie stressant, la fatigue, l’inflammation, le microbiote, l’environnement extérieur sont autant de facteurs qui vont avoir un impact. 

 

Il est important d’agir et de maîtriser ces facteurs car le dérèglement hormonal aura des conséquences entre autres sur la fertilité, le poids, l’humeur, et le bien être général. 

 

L’inflammation est la base de ces déséquilibres, vous pouvez donc agir au travers de ce que vous mangez ou encore en faisant attention aux médicaments. 

 

N’hésitez pas à consulter un professionnel de santé (médecin, gynécologue, etc). Les effets de tous ces changements peuvent mettre du temps à se voir, et chaque femme est différente, mais si jamais vous ne percevez aucun changement, il se peut que vous ayez besoin d’un traitement adapté. Un bilan peut également vous être prescrit. 

NOS SOURCES

[1] Elizabeth Murphy, « Estrogen Signaling and Cardiovascular Disease », Circulation Research 109, no 6 (2 septembre 2011): 687‑96, https://doi.org/10.1161/CIRCRESAHA.110.236687.
[2] Yuko Hara et al., « Estrogen Effects on Cognitive and Synaptic Health Over the Lifecourse », Physiological Reviews 95, no 3 (juillet 2015): 785‑807, https://doi.org/10.1152/physrev.00036.2014.
[3][8][13][15] Seema Patel et al., « Estrogen: The Necessary Evil for Human Health, and Ways to Tame It », Biomedicine & Pharmacotherapy = Biomedecine & Pharmacotherapie 102 (juin 2018): 403‑11, https://doi.org/10.1016/j.biopha.2018.03.078.
[4] Antonio Mancini et al., « Thyroid Hormones, Oxidative Stress, and Inflammation », Mediators of Inflammation 2016 (2016): 6757154, https://doi.org/10.1155/2016/6757154.
[5] Elizabeth H. Ruder et al., « Oxidative stress and antioxidants: exposure and impact on female fertility », Human Reproduction Update 14, no 4 (1 juillet 2008): 345‑57, https://doi.org/10.1093/humupd/dmn011.
[6] S. D. Hewagalamulage et al., « Stress, Cortisol, and Obesity: A Role for Cortisol Responsiveness in Identifying Individuals Prone to Obesity », Domestic Animal Endocrinology 56 Suppl (juillet 2016): S112-120, https://doi.org/10.1016/j.domaniend.2016.03.004.
[7] Johanna M. Doerr et al., « Reciprocal Relationship between Acute Stress and Acute Fatigue in Everyday Life in a Sample of University Students », Biological Psychology 110 (1 septembre 2015): 42‑49, https://doi.org/10.1016/j.biopsycho.2015.06.009.
[9] Ji Wang, Wei-Dong Chen, et Yan-Dong Wang, « The Relationship Between Gut Microbiota and Inflammatory Diseases: The Role of Macrophages », Frontiers in Microbiology 11 (2020): 1065, https://doi.org/10.3389/fmicb.2020.01065.
[10] Hadar Neuman et al., « Microbial endocrinology: the interplay between the microbiota and the endocrine system », FEMS Microbiology Reviews 39, no 4 (1 juillet 2015): 509‑21, https://doi.org/10.1093/femsre/fuu010.
[11] Song He et al., « The Gut Microbiome and Sex Hormone-Related Diseases », Frontiers in Microbiology 12 (2021): 2699, https://doi.org/10.3389/fmicb.2021.711137.
[12] Susanne Mueller et al., « Differences in Fecal Microbiota in Different European Study Populations in Relation to Age, Gender, and Country: A Cross-Sectional Study », Applied and Environmental Microbiology 72, no 2 (février 2006): 1027‑33, https://doi.org/10.1128/AEM.72.2.1027-1033.2006.
[14] Daria La Torre et Alberto Falorni, « Pharmacological Causes of Hyperprolactinemia », Therapeutics and Clinical Risk Management 3, no 5 (octobre 2007): 929‑51.
[16] Anat Biegon, Nelly Alia-Klein, et Joanna Fowler, « Potential Contribution of Aromatase Inhibition to the Effects of Nicotine and Related Compounds on the Brain », Frontiers in Pharmacology 3 (2012): 185, https://doi.org/10.3389/fphar.2012.00185.
[17] Windham, Gayle C., Diana Lee, Patrick Mitchell, Meredith Anderson, Myrto Petreas, et Bill Lasley. « Exposure to Organochlorine Compounds and Effects on Ovarian Function ». Epidemiology (Cambridge, Mass.) 16, no 2 (mars 2005): 182‑90. https://doi.org/10.1097/01.ede.0000152527.24339.17.
[18][19] Zouboulis, Christos C., Mauro Picardo, Qiang Ju, Ichiro Kurokawa, Dániel Törőcsik, Tamás Bíró, et Marlon R. Schneider. 2016. « Beyond Acne: Current Aspects of Sebaceous Gland Biology and Function ». Reviews in Endocrine & Metabolic Disorders 17 (3): 319‑34.https://doi.org/10.1007/s11154-016-9389-5.
[20] Tunc Eren et al., « Factors Effecting Mastalgia », Breast Care (Basel, Switzerland) 11, no 3 (juin 2016): 188‑93, https://doi.org/10.1159/000444359.
[21] Barcikowska, Zofia, Elżbieta Rajkowska-Labon, Magdalena Emilia Grzybowska, Rita Hansdorfer-Korzon, et Katarzyna Zorena. 2020. « Inflammatory Markers in Dysmenorrhea and Therapeutic Options ». International Journal of Environmental Research and Public Health 17 (4): 1191. https://doi.org/10.3390/ijerph17041191.
[22] Yonkers K.A., O’Brien P.M.S., Eriksson, E. « Premenstrual Syndrome » Lancet 371 (2008):1200-1210 10.1016/S0140-6736(08)60527-9
[23] Ahmed AlAwlaqi, Houda Amor, et Mohamed E. Hammadeh, « Role of hormones in hypoactive sexual desire disorder and current treatment », Journal of the Turkish German Gynecological Association 18, no 4 (décembre 2017): 210‑18, https://doi.org/10.4274/jtgga.2017.0071.
[24] Mirallas, Oriol, et Ramon Grimalt. 2016. « The post partum Telogen Effluvium Fallacy ». Skin Appendage Disorders 1 (4): 198‑201. 10.1159/000445385
[25] Bagatin, Edileia, Thais Helena Proença de Freitas, Maria Cecilia Rivitti Machado, Beatriz Medeiros Ribeiro, Samanta Nunes, et Marco Alexandre Dias da Rocha. 2019. « Adult female acne: a guide to clinical practice ». Anais Brasileiros de Dermatologia 94 (1): 62‑75.https://doi.org/10.1590/abd1806-4841.20198203.
[26] Baldwin, Hilary, et Jerry Tan. 2021. « Effects of Diet on Acne and Its Response to Treatment ». American Journal of Clinical Dermatology 22 (1): 55‑65. https://doi.org/10.1007/s40257-020-00542-y.
[27] Thierry Souccar. “Guide des index glycémiques IG et valeurs nutritionnelles : charge glycémique, calories, graisses, fibres, …”. 2011.
[28] « Seed Cycling and Moon Syncing - What to Know about Syncing Your Hormones ». Omne Wellness.
[29] George A. Eby, « Zinc Treatment Prevents Dysmenorrhea », Medical Hypotheses 69, no 2 (1 janvier 2007): 297‑301, https://doi.org/10.1016/j.mehy.2006.12.009.
[30] R. W. Kelly et M. H. Abel, « Copper and Zinc Inhibit the Metabolism of Prostaglandin by the Human Uterus », Biology of Reproduction 28, no 4 (1 mai 1983): 883‑89, https://doi.org/10.1095/biolreprod28.4.883.
[31] Ananda S. Prasad, « Zinc is an Antioxidant and Anti-Inflammatory Agent: Its Role in Human Health », Frontiers in Nutrition 1 (2014), https://www.frontiersin.org/article/10.3389/fnut.2014.00014.
[32] Teimoori B, Ghasemi M, Hoseini ZSA, Razavi M. The Efficacy of Zinc Administration in the Treatment of Primary Dysmenorrhea. Oman Medical Journal. 2016;31(2):107-111. doi:10.5001/omj.2016.21. 10.5001/omj.2016.21
[33] Sangestani G, et al. The Positive Effects of Zinc Supplements on the Improvement of Primary Dysmenorrhea and Premenstrual Symptoms: A Double-blind, Randomized, Controlled Trial. Journal of Midwifery & Reproductive Health. 2015;3(3):378-384. https://dx.doi.org/10.22038/jmrh.2015.4463
[34] V. E. Allgood et J. A. Cidlowski, « Vitamin B6 Modulates Transcriptional Activation by Multiple Members of the Steroid Hormone Receptor Superfamily », The Journal of Biological Chemistry 267, no 6 (25 février 1992): 3819‑24.
[35] Pickering, Gisèle, André Mazur, Marion Trousselard, Przemyslaw Bienkowski, Natalia Yaltsewa, Mohamed Amessou, Lionel Noah, et Etienne Pouteau. 2020. « Magnesium Status and Stress: The Vicious Circle Concept Revisited ». Nutrients 12 (12). https://doi.org/10.3390/nu12123672.
[36] De Souza, M. C., A. F. Walker, P. A. Robinson, et K. Bolland. 2000. « A Synergistic Effect of a Daily Supplement for 1 Month of 200 Mg Magnesium plus 50 Mg Vitamin B6 for the Relief of Anxiety-Related Premenstrual Symptoms: A Randomized, Double-Blind, Crossover Study ». Journal of Women’s Health & Gender-Based Medicine 9 (2): 131‑39. https://doi.org/10.1089/152460900318623.
[37] H. O. Meissner et al., « Therapeutic Effects of Pre-Gelatinized Maca (Lepidium Peruvianum Chacon) used as a Non-Hormonal Alternative to HRT in Perimenopausal Women - Clinical Pilot Study », International Journal of Biomedical Science : IJBS 2, no 2 (juin 2006): 143‑59, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3614596/.
[38] Carla Gonzales-Arimborgo et al., « Acceptability, Safety, and Efficacy of Oral Administration of Extracts of Black or Red Maca (Lepidium meyenii) in Adult Human Subjects: A Randomized, Double-Blind, Placebo-Controlled Study », Pharmaceuticals 9, no 3 (18 août 2016): 49, https://doi.org/10.3390/ph9030049.
[39] Sánchez JML, Serrano ZA, Durán JA, et al. Peruvian maca and possible impact on fertility. J Nutr Health Food Eng. 2017;6(5):165-166. DOI: 10.15406/jnhfe.2017.06.00217
[40] Shashi Alok et al., « Plant Profile, Phytochemistry and Pharmacology of Asparagus Racemosus (Shatavari): A Review », Asian Pacific Journal of Tropical Disease 3, no 3 (1 avril 2013): 242‑51, https://doi.org/10.1016/S2222-1808(13)60049-3.
[41] Ajai K. Pandey et al., « Impact of Stress on Female Reproductive Health Disorders: Possible Beneficial Effects of Shatavari (Asparagus Racemosus) », Biomedicine & Pharmacotherapy = Biomedecine & Pharmacotherapie 103 (juillet 2018): 46‑49, https://doi.org/10.1016/j.biopha.2018.04.003.
[42] V. Ashajyothi, R.S. Pippalla, D. Satyavati, Asparagus racemosus - a phytoestrogen, IJPT 1 (2009) 36–47.
[43] Ali A. El Gamal et al., « Beetroot (Beta Vulgaris L.) Extract Ameliorates Gentamicin-Induced Nephrotoxicity Associated Oxidative Stress, Inflammation, and Apoptosis in Rodent Model », Mediators of Inflammation 2014 (2014): 983952, https://doi.org/10.1155/2014/983952.
[44] Tuba Esatbeyoglu et al., « Betanin--a Food Colorant with Biological Activity », Molecular Nutrition & Food Research 59, no 1 (janvier 2015): 36‑47, https://doi.org/10.1002/mnfr.201400484.
[45] Dehong Tan et al., Food and Chemical Toxicology: An International Journal Published for the British Industrial Biological Research Association 78 (avril 2015): 141‑46, https://doi.org/10.1016/j.fct.2015.01.018.
[46] Christopher R. Day et Stephen A. Kempson, « Betaine Chemistry, Roles, and Potential Use in Liver Disease », Biochimica et Biophysica Acta (BBA) - General Subjects 1860, no 6 (1 juin 2016): 1098‑1106, https://doi.org/10.1016/j.bbagen.2016.02.001.
[47] Clark, Ashley K., Kelly N. Haas, et Raja K. Sivamani. 2017. « Edible Plants and Their Influence on the Gut Microbiome and Acne ». International Journal of Molecular Sciences 18 (5): 1070. https://doi.org/10.3390/ijms18051070.
[48] Jessica Gremley. “How To Treat Hormonal Acne Naturally – Top 3 Ingenious Ways”. 2020.
[49] Aadra P. Bhatt et al., « Nonsteroidal Anti-Inflammatory Drug-Induced Leaky Gut Modeled Using Polarized Monolayers of Primary Human Intestinal Epithelial Cells », ACS Infectious Diseases 4, no 1 (12 janvier 2018): 46‑52, https://doi.org/10.1021/acsinfecdis.7b00139.
[50] Julie A. Cornish et al., « The Risk of Oral Contraceptives in the Etiology of Inflammatory Bowel Disease: A Meta-Analysis », The American Journal of Gastroenterology 103, no 9 (septembre 2008): 2394‑2400, https://doi.org/10.1111/j.1572-0241.2008.02064.x.
[51] Baudry, Julia, et al. “Urinary Pesticide Concentrations in French Adults with Low and High Organic Food Consumption: Results from the General Population-Based NutriNet-Santé.” Journal of Exposure Science & Environmental Epidemiology, vol. 29, no. 3, May 2019, pp. 366–78. www.nature.com, https://doi.org/10.1038/s41370-018-0062-9.
[52] Peinado, F. M., O. Ocón-Hernández, L. M. Iribarne-Durán, F. Vela-Soria, A. Ubiña, C. Padilla, J. C. Mora, et al. « Cosmetic and Personal Care Product Use, Urinary Levels of Parabens and Benzophenones, and Risk of Endometriosis: Results from the EndEA Study ». Environmental Research 196 (1 mai 2021): 110342. https://doi.org/10.1016/j.envres.2020.110342.
[53] Cheema BS, Vizza L, Swaraj S. Progressive resistance training in polycystic ovary syndrome: can pumping iron improve clinical outcomes? Sports Med. 2014 Sep;44(9):1197-207. doi: 10.1007/s40279-014-0206-6. PMID: 24872311.
[54] Rebecca L. Thomson et al., The Journal of Clinical Endocrinology and Metabolism 93, no 9 (septembre 2008): 3373‑80, https://doi.org/10.1210/jc.2008-0751.
[55] Jeffrey D. Covington et al., « Higher Circulating Leukocytes in Women with PCOS Is Reversed by Aerobic Exercise », Biochimie 124 (mai 2016): 27‑33, https://doi.org/10.1016/j.biochi.2014.10.028.
Produits recommandés
POURQUOI CE PRODUIT ?
Pink balance, la poudre au maca et shatavari, au goût de fraise et de framboises, avec un mélange de vitamines B naturelles. Le maca et le shatavari sont des adaptogènes qui aident à rééquilibrer les hormones et donc le cycle. 
poudre équilibre hormonal

Pink balance x Charlotte Muller

Ce produit a été développé en collaboration avec Charlotte Muller, la star du yoga hormonal ! Pink balance, une délicieuse poudre aux fruits rouges pour l’équilibre hormonal et la fertilité. Elle contient du maca et du shatavari, traditionnellement utilisés pour les troubles du cycle féminin et elle est riche en vitamines du groupe B, très intéressantes pour le cycle. Un complément alimentaire 100% bio et naturel, qui aide également à faire le plein d’énergie. Le tout dans un pot en verre et avec un couvercle 100% recyclable.

Ce produit a été développé en collaboration avec Charlotte Muller, la star du yoga hormonal ! Pink balance, une délicieuse poudre aux fruits rouges pour l’équilibre hormonal et la fertilité. Elle contient du maca et du shatavari, traditionnellement utilisés pour les troubles du cycle féminin et elle est riche en vitamines du groupe B, très intéressantes pour le cycle. Un complément alimentaire 100% bio et naturel, qui aide également à faire le plein d’énergie. Le tout dans un pot en verre et avec un couvercle 100% recyclable.

Ce produit a été développé en collaboration avec Charlotte Muller, la star du yoga hormonal ! Pink balance, une délicieuse poudre aux fruits rouges pour l’équilibre hormonal et la fertilité. Elle contient du maca et du shatavari, traditionnellement utilisés pour les troubles du cycle féminin et elle est riche en vitamines du groupe B, très intéressantes pour le cycle. Un complément alimentaire 100% bio et naturel, qui aide également à faire le plein d’énergie. Le tout dans un pot en verre et avec un couvercle 100% recyclable.

Ce produit a été développé en collaboration avec Charlotte Muller, la star du yoga hormonal ! Pink balance, une délicieuse poudre aux fruits rouges pour l’équilibre hormonal et la fertilité. Elle contient du maca et du shatavari, traditionnellement utilisés pour les troubles du cycle féminin et elle est riche en vitamines du groupe B, très intéressantes pour le cycle. Un complément alimentaire 100% bio et naturel, qui aide également à faire le plein d’énergie. Le tout dans un pot en verre et avec un couvercle 100% recyclable.

30€
SHARE
FAQ

Comment savoir si on a un dérèglement hormonal ?

Les symptômes les plus courants sont : fatigue, troubles menstruels (douleurs, irrégularité, SPM, etc), acné, variation de poids, perturbation de l’humeur, etc. Un médecin peut également vous faire faire un bilan afin de déterminer la cause de votre trouble. 

Comment rétablir un équilibre hormonal ?

Une approche globale est nécessaire : bien manger (non inflammatoire et riche en antioxydant), un bon sommeil, être moins stressée (yoga, plantes, etc), du sport, etc. 

Qu'est-ce qui provoque un dérèglement hormonal ?

De nombreux facteurs jouent sur ce trouble. Le mode de vie stressant et l’inflammation en sont les principaux, on trouve également les perturbateurs endocriniens, les métaux lourds, le tabac, etc. 
Livraison rapide et gratuite

dès 100€ d'achat en France et Belgique

INNOVATION FRANÇAISE

La majorité de nos ingrédients sont français et bios

UNE QUESTION ?

Nous sommes à votre écoute du lundi au vendredi (9h-13h et 14h-18h) :